Amélioration des dispositifs d’interférence de la police pour le blocage du signal 5G

Adaptation aux progrès de la technologie 5G

Alors que les signaux 5G continuent de gagner du terrain, il est devenu impératif pour les organismes d’application de la loi de mettre à niveau leurs dispositifs d’ingérence de la police. Ces appareils, qui ont été initialement conçus pour bloquer et interférer avec les fréquences utilisés par les générations précédentes de réseaux mobiles, sont désormais rendues inefficaces contre les nouveaux signaux 5G. Cet article explore les raisons de la nécessité de mettre à niveau les appareils d’interférence de la police pour bloquer et interférer efficacement avec les signaux 5G.

L’expansion des fréquences du signal 5G:

Selon la division de fréquence établie par le ministère de l’industrie et des technologies de l’information (MIIT), l’introduction des signaux 5G a entraîné des changements importants dans le spectre de fréquence. En plus des fréquences utilisées par les générations précédentes de réseaux mobiles, tels que la 4G, de nouvelles fréquences ont été ajoutées pour une utilisation partagée entre la radiodiffusion et les réseaux mobiles. Il s’agit notamment de la bande de 700 MHz pour la radiodiffusion et des réseaux mobiles, ainsi que la bande 3,4 GHz à 3,6 GHz pour China Telecom et China Unicom. En outre, la gamme de fréquences pour le réseau 4G d’origine de China Mobile est passée de 2555 MHz à 2655 MHz à 2515 MHz à 2675 MHz. Par conséquent, la mise à niveau des appareils d’interférence de la police pour inclure des modules de blocage 5G nécessite l’ajout de modules 2-3, ainsi que l’expansion du module mobile 2,6 GHz.

Amélioration des capacités de blocage du signal 5G:

Pour bloquer et interférer efficacement avec les signaux 5G, il est essentiel de mettre à niveau les appareils d’interférence de la police avec les modules nécessaires. Conformément au plan de division de fréquence du MIIT, l’ajout de modules 2-3 est nécessaire pour s’adapter aux nouvelles fréquences introduites par les réseaux 5G. De plus, le module mobile 2,6 GHz doit être élargi pour couvrir la plage de fréquences étendue. En mettant en œuvre ces mises à niveau, les dispositifs d’ingérence de la police seront capables de protéger et d’interférer avec les signaux 5G, assurant l’efficacité continue des opérations d’application de la loi.

Considérations pour l’expansion future en fréquence:

Certains peuvent remettre en question l’absence de la gamme de fréquences de 4800 MHz à 4900 MHz utilisées par les réseaux mobiles 5G. La raison de cette omission est que le déploiement de cette plage de fréquences n’est pas encore répandu. Par conséquent, la décision d’inclure des modules d’interférence pour cette gamme de fréquences dans les dispositifs d’interférence de la police devrait être basée sur les scénarios d’utilisation spécifiques. Cependant, avec l’expansion de la plage de fréquences du module de 2,6 GHz, la plupart des exigences de blocage des signaux mobiles dans divers scénarios d’utilisation peuvent déjà être satisfaites.

Conclusion:

Alors que la technologie 5G continue de progresser, les organismes d’application de la loi doivent adapter leur équipement pour lutter efficacement contre les menaces émergentes. La mise à niveau des dispositifs d’interférence de la police pour inclure des modules de blocage 5G est crucial pour maintenir la capacité de protéger et d’interférer avec les signaux 5G. En adhérant au plan de division de fréquence établi par le MIIT et en considérant l’expansion future en fréquence, les organismes d’application de la loi peuvent assurer l’efficacité continue de leurs opérations face à l’évolution des technologies de communication.